Adieu David Bowie : La stupéfiante révélation d’Amanda Lear !

France Dimanche
Adieu David Bowie : La stupéfiante révélation d’Amanda Lear !

L’ex-égérie de Salvador Dali, Amanda Lear a vécu avec le chanteur anglais David Bowie une passion brûlante dans les années 70 dont elle livre aujourd’hui les secrets d’alcôve…

Le cancer prend ses victimes au hasard. Et si celle qu’il a choisie va endeuiller la terre entière en mourant, il s’en moque et frappe tout pareil : le cancer est très mal élevé.

S’il ne l’était pas, il aurait sûrement laissé vivre David Bowie, ce fantastique musicien et chanteur qui, durant plus de quarante ans, a enchanté des centaines de millions de gens de par le monde.

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David et Amanda ont eu en partage le goût de l'extravagance et la maîtrise de leur image

Intergalactique

Maigre consolation mais consolation tout de même : deux jours avant de succomber, le 10 janvier, à 69 ans, David Bowie a eu le temps de livrer à ses fans un dernier album, Blackstar, en guise de chant du cygne.

Avec lui s’éteignaient tous les personnages qu’il avait imaginés et incarnés : Ziggy Stardust, Aladdin Sane et Halloween Jack, parmi tant d’autres. Car, dès ses débuts, l’homme a toujours adoré se travestir, se métamorphoser. Tantôt créature intergalactique, tantôt changeant carrément de sexe, il savait déclencher de petits scandales et faire naître des doutes quant à son orientation...

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S’il est une personne qui est bien placée pour ne pas en avoir, des doutes de ce genre, c’est bien Amanda Lear. L’égérie de Salvador Dali a en effet vécu, durant trois ans, une passion torride avec David Bowie, au milieu des années 70, alors qu’il était en train de se séparer de sa première épouse, Angela, la mère de son fils Duncan.

Parmi les dizaines de souvenirs qu’Amanda conserve de son célèbre amant, il en est un tout à fait surprenant, presque cocasse, qu’elle a confié il y a quelques jours au Parisien.

Elle affirme d’abord que David était toujours très préoccupé par son look, jusque-là rien de bien surprenant pour ceux qui appréciaient déjà le chanteur à cette époque. Mais ce qu’il l’est davantage, est ce qu’elle ajoute aussitôt : « Il se maquillait plus que moi ! Mais il le faisait avec élégance. » Battre Amanda Lear sur son propre terrain : il fallait le faire, non ?

Mais nous parlions de cocasserie. Elle se trouve dans la conclusion d’Amanda : « Ce qui me choquait, c’est qu’il ne se démaquillait pas. Ça salopait les traversins et les oreillers. » C’est sans doute ce qu’on appelle une confidence sur l’oreiller, au sens « propre » du terme...

Pierre-Marie Elstir

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