Amanda Lear : Absente aux obsèques de sa mère, elle assume totalement !

France Dimanche
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On le sait, la famille, c’est parfois compliqué. Amanda Lear en sait quelque chose puisque lors de l’enterrement de sa mère, elle a fait le choix délibéré d’être absente. Une décision qu’elle ne regrette pour rien au monde...

Amanda Lear est une femme de tempérament. Muse de Salvador Dali, chanteuse extravagante, amante de David Bowie, elle a toujours vécu sa vie selon ses propres règles et selon ses envies. Loin d’avoir sa langue dans sa poche, lorsqu’Amanda a quelque chose à dire, elle ne se gêne pas pour le faire savoir.

Et ce sont une nouvelle fois ses prises de positions très tranchées qui ont interpellé. En effet, dans le livre Quelles Vies !, des journalistes Vincent Remy et Jean-Philippe Pisanias, sorti ce 5 mai, la septuagénaire, dont on ne connaît pas précisément l'âge, n’a pas mâché ses mots concernant sa famille.

Amanda n’avait que dix-sept ans lorsqu’elle a décidé de quitter sa mère pour rejoindre son père de l’autre côté de la Manche. Une décision très brutale pour sa mère, mais qu’Amanda assumait fermement. "Pourquoi aurais-je dû accepter une petite vie désargentée alors que, de l'autre côté de la rue, paradaient des gens bien habillés ? Je voulais aller où ça brillait. De toute manière, je n'ai jamais été très famille", a-t-elle expliqué.

Une relation tellement distendue qu’Amanda n’a même pas assisté aux obsèques de sa mère. Et le moins que l’on puisse dire, c’est que la diva semble n’en ressentir aucune culpabilité.

"Ma mère a eu une vieillesse sympa. Je l'avais placée dans un Ehpad assez luxueux, 3 000 ou 4 000 euros par mois, avec minibar et écran plat, a-t-elle indiqué. Je pense que je me suis bien comportée, j'avais promis de m'occuper d'elle, je l'ai fait. Je n'ai rien à me reprocher de ce côté-là", a-t-elle confié.

Et lorsque les journalistes lui demandent si elle a aujourd’hui à quelconque regret, sa réponse se fait sans détour : "J'étais en tournée. Si j'ai des regrets ? Non. [...] Non, parce que si, en plus, on doit développer un sentiment de culpabilité au prétexte qu'on n'accompagne pas personnellement ses géniteurs jusqu'à la fin, où va-t-on ?"

Voilà qui a le mérite d’être clair.

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Andréa Meyer

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