Charlotte Valandrey : Humiliée lors d’un speed dating !

France Dimanche
Charlotte Valandrey : Humiliée lors d’un speed dating !

 
Pour trouver l’homme de sa vie, l’héroïne de “Rouge baiser” est prête à tout ! Même à participer à des soirées réservées aux célibataires où Charlotte Valandrey a fait une drôle de rencontre…

Est-ce parce qu’elle a frôlé la mort à plusieurs reprises qu’elle a un tel appétit de vivre ? À 45 ans, Charlotte Valandrey, diagnostiquée séropositive à 18 ans, victime de trois infarctus et greffée du cœur en 2003, rayonne. Maman comblée de Tara, 14 ans, auteur à succès de quatre ouvrages, dont le dernier, Vers le 8e ciel, est paru chez XO éditions en avril, la jolie actrice offre la preuve éclatante que volonté et foi en la vie, si elles ne font pas tout, peuvent en tout cas beaucoup !

C’est d’ailleurs avec ces armes qu’elle s’est lancée dans la nouvelle aventure de sa vie : trouver le grand amour. Car depuis sa très belle histoire avec le mari de celle qui lui a donné son cœur, Charlotte n’a toujours pas rencontré l’homme dont elle voudrait partager l’existence. Ce n’est pourtant pas faute d’essayer ! Elle est ainsi partie avec sa meilleure amie, Lili, « pêcher » l’âme sœur, lors d’une croisière destinée aux célibataires... Une expédition rocambolesque, dont elle est revenue bredouille.

Grand jeu

Elle a même participé à un speed dating à Paris, expérience qu’elle n’est pas près d’oublier, comme elle vient de le raconter au magazine Jour de France ! Pour ne pas être reconnue, la comédienne était en effet allée à ce rendez-vous coiffée d’un bonnet, son magnifique regard turquoise dissimulé derrière des lentilles de contact marron.

Un camouflage à demi réussi, puisque le premier candidat lui a dit en la voyant : «Vous ressemblez à Charlotte Valandrey!» Plutôt perspicace, direz-vous... Sans doute aurait-il marqué un point s’il n’avait ajouté dans la foulée : « Il paraît qu’elle est très conne ! » Il en fallait bien plus pour déstabiliser l’héroïne de Rouge baiser, qui, après avoir échangé quelques phrases avec ce galant personnage, s’est alors levée et lui a assené en guise d’adieu, dans un grand éclat de rire : « C’est moi, pauv’ con ! » Faut-il le préciser, le « pauvre con » en question en est resté baba !

Cependant, celle qui déclare dans son dernier livre être née « l’espoir chevillé au corps » ne s’avoue pas vaincue. Ainsi, lorsqu’un homme lui plaît, elle n’hésite pas à sortir le grand jeu, comme elle le confie, toujours dans Jour de France : « Je mets en valeur mes deux principaux atouts : mon regard et mes seins. »

Gageons qu’elle n’aura plus à attendre longtemps ce grand amour auquel elle croit si fort et trouvera celui qui saura reconnaître, au-delà de ses charmes physiques, la femme passionnante et passionnée qu’elle est...

Lili Chablis

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