S’il est un club qui entretient des liens avec les figures du grand banditisme, c’est bien l’Olympique de Marseille.
L’actuel sélectionneur des Bleus a pu le constater à ses dépens quand, de 2009 à 2012, il entraîna le onze à la tunique blanche.
Dès son arrivée, Didier Deschamps se fit un ennemi de José Anigo, cheville ouvrière du club qui servait également d’antenne à la pègre, notamment pour Jean-Luc Barresi.
Un sulfureux agent qui n’aurait pas hésité à exercer de très inamicales pressions sur les joueurs pour empocher de juteuses commissions sur leurs transferts.
Le nouveau coach veut mettre fin à ces pratiques et a donc aussi dans sa ligne de mire Rachid Zeroual, n° 2 du groupe de supporters des South Winners
et « défavorablement connu des services de police ».
Pour l’écarter, Deschamps tente de faire jouer ses relations parisiennes, ce qui fâche pour de bon ce gros bras.
Celui-ci cherche sa proie à travers la cité phocéenne, et finit par la trouver dans un restaurant.
La suite, il l’a racontée face à la caméra de Jérôme Pierrat, auteur d’un reportage sur l’OM pour le magazine de France 3 Pièces à conviction (diffusé le 13 juin) : « Je lui ai dit : “Je vais te décapsuler la tête des épaules". »
On ignore si le sélectionneur a avalé de travers.
En tout cas, il a choisi de quitter son poste, alors que Zeroual, lui, est toujours au club...
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