France Dimanche
Avec la crise du Covid et les restrictions sanitaires, les stars ont vu leurs projets stoppés nets. C’est aussi le cas pour Gad Elmaleh, contraint de mettre sa carrière entre parenthèses pendant un temps. De quoi se recentrer sur l’essentiel. Si certains en profitent pour se tourner vers la famille, le sport, les amis, l’humoriste a, quant à lui, d’autres préoccupations.
À l’occasion d’un entretien accordé au magazine Paris Match dont il fait la couverture, Gad Elmaleh s’est confié sur sa vie privée. Célibataire mais “pas malheureux", l’acteur a décidé de prendre une sacrée résolution pour cette année : trouver l’amour. Et pour cela, il s’est "inscrit sur l’application de rencontres Raya, un réseau social que l’on rejoint par cooptation."
Une application de rencontres réservée donc à l’élite, ultra sélective et haut de gamme. Les utilisateurs sont triés sur le volet, et cultivent une confidentialité drastique. En clair, seuls les riches et célèbres ont le droit d’y accéder. Une sorte de Tinder des très hautes sphères où les stars hollywoodiennes y ont leurs habitudes. Une façon pour Gad Elmaleh de tourner définitivement la page de ses précédentes relations.
Effectivement, celui-ci a eu plus d’une conquête dans sa vie. On lui connait des amours avec Marie Drucker, Nora Arnezeder, Marie Fugain... Mais s'il y en a bien une qui l’a marqué, c’est celle avec la princesse Charlotte de Monaco, fille de Caroline, avec qui il a eu un fils prénommé Raphael. Une rupture douloureuse pour le comédien de 49 ans dont il devrait bientôt se remettre aux vues de ses nouvelles résolutions.
Malgré ses recherches, Gad Elmaleh ne perd pas de vue que les mesures sanitaires ne devraient pas durer éternellement puisqu’il a tout de même écrit un nouveau spectacle. Il confie : “J’ai revu ma copie dans tous les sens. Je n'ai jamais autant bossé un texte." Un one man show très attendu puisqu’il s’est déjà écoulé 140 000 places en l’espace de quelques jours pour sa tournée prévue jusqu’en février 2022. Peut-être qu’il ne sera plus seul dans les loges d’ici là...
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