Le star française est catégorique : il n'a rien touché de la part de la Mairie de Paris pour sa prestation lors de l'hommage aux victimes des attentats de janvier 2015. Son avocat, Me Ardavan Amir-Aslani, a tenu à démentir cette information dans un communiqué.
La star française était venue interpréter le titre "Un Dimanche de Janvier" lors de l’hommage aux victimes, le dimanche 10 janvier 2016. Selon une information dévoilée par La Lettre de l’Expansion, cette performance aurait coûté 30 000€ à cause des frais de déplacement et ses factures de coiffure et de maquillage. Une somme réglée par la Mairie de Paris comme l'affirmait le magazine.
La mairie avait rapidement démenti l’information par Matthieu Lamarre, responsable presse de la mairie de la capitale. Il avait annoncé que le montant total de cet événement s’élevait à 17 000€ mais que le chiffre correspondait "essentiellement à des dépenses techniques : la scène, le câblage, les techniciens, le reste – le reste ayant été réglé par le chanteur ou par sa maison de production."
Après le démenti de la Mairie de Paris, c’est le chanteur qui a tenu à réfuter l’information par la voix de son avocat, Maître Ardavan Amir-Aslani. Dans un communiqué, il "dément catégoriquement les allégations grotesques" selon quoi l’artiste aurait reçu une rémunération pour chanter son titre "Un Dimanche de Janvier".
L'avocat de Johnny Hallyday assure que l'artiste n’a perçu "aucun cachet pour cette prestation et encore encore moins la prise en charge de quelconques frais personnels (transport, hébergement, et autres)" Il ajoute que les "dépenses prises en charge par la Mairie de Paris correspondent exclusivement à des frais d’ordre techniques : la scène, le câblage, les techniciens..." Il conclut ce communiqué en affirmant n’avoir "aucun autre commentaire à faire sur ce sujet."
Cyril Coantiec
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