Mallaury Nataf : Elle vit toujours dans la rue !

France Dimanche
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En janvier dernier, on apprenait déjà que Mallaury Nataf vivait dans la rue depuis de nombreux mois. Malheureusement, selon le producteur Jean-Luc Azoulay, la situation de la comédienne serait loin de s’améliorer...

Mallaury Nataf a vécu une véritable descente aux enfers. Après avoir connu la gloire et le succès avec la série télévisée Miel et l’abeille, la comédienne s’est retrouvée plongée dans l’enfer de la rue. En effet, en 2012, on apprenait que Marie Laurence Nataf de son vrai nom, était devenue SDF. Une situation dramatique qui l’avait même conduite à voir la garde de son fils, Shiloh, retirée.

Dans ce cauchemar, Mallaury avait entrevu une lueur d’espoir en 2018 après avoir été embauchée dans une boulangerie. Un changement de vie qui avait toutefois été difficile à aborder pour l’ex-actrice.

"Travailler avec le commun des mortels dans des jobs ordinaires m'est impossible, avait-elle confié à Télé Star, en 2019. Le premier mois, tout se passe bien et puis quelqu'un me reconnaît. La clientèle l'apprend et soudain, tout le quartier le sait. Tout devient très compliqué, infernal. C'est mauvais pour le commerce. Et le patron ne veut pas me garder. Ma seule voie pour reconstruire ma vie était AB Productions".

Après un bref retour à l’écran en 2019 dans Les Mystères de l’amour, la situation de Mallaury ne s’est malheureusement pas améliorée. Selon les informations de Closer, la femme de 50 ans vivrait désormais dans les rues du quartier Marais à Paris.

"Je n'ai pas eu beaucoup de nouvelles. Beaucoup de gens l'ont croisée dans la rue. On a essayé de la rappeler, de la revoir", a expliqué Jean-Luc Azoulay dans les colonnes de Toute la télé dimanche 3 juillet. Selon lui "pour l'instant, elle est bien dans la rue" : "L'autre fois, elle avait fait ça et au bout de quelques années, elle m'avait appelé en me disant : 'finalement, je veux revenir'. Peut-être qu'elle va me rappeler un jour en me disant : 'Finalement, je veux revenir'."

C’est tout ce qu’on lui souhaite. 

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Andréa Meyer

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