Nathalie Baye : Drame avant l'accouchement de Laura !

France Dimanche
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Le couperet est tombé samedi dernier et depuis, Nathalie Baye est folle d’angoisse et d’inquiétude…

On dit souvent que maman est le plus beau métier du monde, en oubliant de préciser que c’est aussi le plus difficile. Donner naissance à un enfant, c’est s’attacher à lui pour la vie. Un lien indéfectible tissé de grandes joies, de folles inquiétudes, et de terribles incertitudes. Les épreuves qu’il traverse, vous les connaissez aussi. Les douleurs qu’il éprouve, vous les ressentez également. Et même lorsque ce petit être que vous avez mis au monde devient un adulte accompli, vous continuez malgré vous à vous inquiéter pour lui...

C’est ainsi qu’il faut comprendre l’étonnant message que Nathalie Baye a publié sur son compte Instagram le 29 août dernier. L’appel déchirant d’une mère qui ne souhaite qu’une chose : préserver le bonheur fragile et durement acquis de sa fille unique, Laura Smet. Beauté féline dotée des mêmes yeux de chat que son père Johnny, celle-ci ferait montre d’une sensibilité à fleur de peau qui l’aurait conduite à plusieurs reprises à éprouver d’insondables tristesses. Comme son illustre papa, elle a connu le succès très jeune.

Elle n’a que 19 ans lorsqu’en 2003, elle crève l’écran dans Les Corps impatients de Xavier Giannoli. Récompensée par le prix Romy-Schneider en 2004, la jeune femme découvre alors une vie de fête dont elle n’a pas tous les codes : « J’ai commencé à sortir beaucoup la nuit et j’ai rencontré de mauvaises personnes. Dans ces boîtes, on lutte contre l’ennui en buvant et on se voit proposer certains produits. » Son idylle passionnée avec l’écrivain Frédéric Beigbeder, qui durera deux ans, n’arrange rien. Leur rupture, en 2006, aurait précipité Laura dans une profonde mélancolie. Elle n’aurait même pas été en état d’achever le tournage des Femmes de l’ombre, de Jean-Paul Salomé, l’année suivante. Nathalie et Johnny décident alors de faire hospitaliser leur fille...

Soutenue par sa mère et ses amis, la jeune femme remonte la pente avant de rechuter en 2010, où elle est retrouvée inanimée dans l’église Saint-Germain-des-Prés. Malaise ? Tentative de suicide ? Elle est de nouveau hospitalisée. Le pire intervient en 2012, quand, une nuit, elle est arrêtée, nue et en état d’ivresse, dans une rue de Paris. Déclic, instinct de survie ? Depuis, Laura s’est reconstruite, reprenant avec brio sa carrière de comédienne. Mais les épreuves, hélas, ne l’ont pas épargnée. Le 5 décembre 2017, la mort de son père, avec qui elle avait tant d’affinités, aura sans doute été un choc, une véritable désolation. Plus dévastatrice encore a certainement été la guerre de succession opposant l’actrice à Læticia Hallyday, qui a eu des mots si durs à son encontre...

Pourtant, Laura a tenu bon. Grâce au soutien sans faille de Nathalie et de celui qui est à ses côtés depuis 2013, le discret entrepreneur Raphaël Lancrey-Javal, à qui elle a dit « oui » le 1er décembre 2018. À bientôt 37 ans, c’est aujourd’hui une femme amoureuse et sereine qui s’apprête à son tour à donner la vie.

Ce bébé, qui devrait pointer son nez au début de l’automne, comble déjà Nathalie Baye de joie... tout en ravivant sans doute ses angoisses. Plus que jamais, en effet, Laura est au centre de tous les regards. Alors que la future maman a grand besoin de tranquillité et de discrétion, elle doit se terrer pour éviter les curieux. Difficile en effet de rester dans l’ombre quand on est la fille de Johnny Hallyday et de Nathalie Baye.

Or, aujourd’hui, la jolie blonde n’est plus seulement la fille de... Elle s’apprête à jouer son plus beau rôle : celui de maman. Et Dieu sait que l’arrivée d’un premier bébé est un bouleversement et une source de stress. Un stress que la jeune femme, déjà inquiète par la recrudescence de l’épidémie de Covid-19 en France, aurait préféré éviter. A-t-elle fait part de son désarroi à Nathalie ? Ou bien celle-ci, n’écoutant que son cœur de mère et de future grand-mère, a-t-elle seule pris cette initiative ?

Elle est en effet bien placée pour savoir à quel point une femme enceinte est sensible, fragile et émotive. Elle-même aurait connu cet état alors qu’elle attendait Laura, il y a trente-sept ans. Elle aussi, à l’époque, devait fuir oreilles, regards et appareils photo indiscrets pour mener sa grossesse le plus sereinement possible.

Mais quand on s’appelle Laura Smet et que l’on s’apprête à mettre au monde son premier enfant, comment ne pas se retrouver sur papier glacé alors que le public et les fans de Johnny en demandent et en redemandent ? D’autant que sur les clichés parus cet été dans la presse, Laura n’aura jamais été aussi belle, avec ses formes et ses rondeurs. Pourtant, Nathalie connaît sa fille et elle sait que pour Laura, se voir, aussi belle soit-elle, à la une des magazines, peut être gênant, voire dérangeant. N’écoutant que son cœur de mère, Nathalie a donc frappé fort. Son message accompagnant une photo de sa fille bébé en train de jouer sur une plage est même on ne peut plus cash : « Je suis désolée, j’enlève le commentaire car la presse de merde (désolée pour la grossièreté) n’arrête pas de sortir des imbécillités, ils sont extrêmement pénibles avec ma fille... paparazzi, etc. Bonne journée », écrit-elle.

Des mots qui peuvent paraître durs, mais qui sont dictés par l’amour. Car au fond d’elle, Nathalie sait très probablement bien que nous sommes très nombreux à nous réjouir du bonheur de Laura. Mais, en tant que mère, elle a vraisemblablement peur pour sa fille unique qui restera toujours son bébé, et sans doute plus peur encore pour le bébé de son bébé. L’accouchement approchant, on peut comprendre l’inquiétude d’une mère qui, se sentant probablement impuissante, prie pour que Laura et son enfant soient protégés et connaissent un destin enfin plus clément que capricieux...

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Lili CHABLIS

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