Nathalie Marquay : Victime d’une inondation !

France Dimanche
Nathalie Marquay : Victime d’une inondation !

C’était bien la peine d’être logée dans un véritable palace pour, soudain, se retrouver submergée par des  jaillissements � d’eau impossibles à maîtriser ! Encore un mauvais souvenir pour Nathalie Marquay...

Est-ce qu’il n’y aurait pas comme une fatalité qui pèserait sur les vacances de Jean-Pierre Pernaut et Nathalie Marquay ? Serait-il possible qu’un démon (petit mais costaud !) ait décidé de pourrir systématiquement tous leurs étés ? On va finir par se le demander, tellement ils ont dû supporter de « tuiles » à ce moment-là de l’année, que ce soit ensemble ou séparément. On aurait pu espérer que, cette fois, ils allaient enfin se reposer tranquillement, se prélasser sans crainte ni appréhension sur la plage de ce Lavandou qu’ils aiment tant.

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Et c’est alors que, la semaine dernière, nous est arrivée cette image choc, d’une Nathalie Marquay aux prises avec une inondation impossible à endiguer et menaçant de tout submerger sur son passage ! Décidément, il a la vie dure et la rancune tenace, ce petit démon dont nous parlions...

C’est durant l’été 2005 qu’il s’est montré le plus redoutablement efficace. Au point que, cette année-là, on a pu se demander si le couple Pernaut-Marquay allait survivre jusqu’à l’automne. Jean-Pierre, dans son livre Pour tout vous dire, paru chez Michel Lafon l’année suivante, l’appelle « l’été meurtrier ». Tout avait commencé en juillet, lors du passage de Nathalie Marquay dans La Ferme célébrités. Par le choix de certaines scènes de l’émission diffusées par TF1, d’aucuns ont cru voir que Daniel Ducruet, l’ex-mari de Stéphanie de Monaco, serrait Nathalie de très – trop – près.

Jean-Pierre Pernaut et Nathalie Marquay vont finir par croire que leurs vacances sont maudites !

Il n’en fallait pas plus pour lancer la rumeur d’une liaison torride entre eux. Rumeur sans le moindre fondement, mais qui, on l’imagine aisément, a largement suffi à gâcher les vacances qui ont suivi ! « Tout ça n’est qu’un tissu de mensonges écœurants, protestera la jeune femme. Je suis là pour mon association [de lutte contre le cancer des plus jeunes, ndlr], je me bats pour Ti’toine et j’aime mes enfants et mon mari ! » On peut croire Jean-Pierre Pernaut lorsqu’il écrit dans son livre que ce déchaînement est « brisant », « épuisant mentalement », « terrible sentimentalement ». Heureusement, ils tiendront bon face à ce déferlement.

L’année suivante, au Lavandou, c’est une autre épreuve qui les attend : sur la plage, le couple a une altercation avec un photographe. L’accusant d’avoir violé leur intimité, Nathalie Marquay se serait emparée des clés de sa voiture et aurait refusé obstinément de les lui rendre... alors qu’un bébé âgé de 6 mois se trouvait à l’intérieur, en plein soleil, par plus de 35 °C à l’ombre ! Accusations des deux côtés, double dépôt de plaintes en justice et... encore un été gâché !

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Gâchées aussi, les vacances 2015, cette fois par la faute de l’administration qui, de plus en plus tatillonne, multiplie sur le littoral les interdictions et règlements absurdes qui pourrissent le séjour des estivants. Saisissant l’étendard de la révolte, Jean-Pierre publie alors, sur sa page Facebook, un message incendiaire qui traduit son exaspération, mais pas seulement la sienne : « Elle [l’Administration, ndlr] emmerde les plagistes (et les vacanciers) en multipliant les contrôles, en mesurant la distance des matelas de la mer, la largeur des espaces qui ont été réduits cette année. 6 000 emplois perdus cet été sur le littoral... Qu’importe [...], faut contrôler pour faire de la place avec de gros PV si on dépasse de 10 cm ! » tempête-t-il.

Mais enfin, objecteront peut-être certains, si vraiment leurs vacances communes au Lavandou sont maudites, que ne partent-ils pas ailleurs, chacun de leur côté ! Ce serait trop facile... Car cette inondation dont nous parlions, ce n’est pas dans la station varoise que Nathalie Marquay a dû l’affronter. Et encore moins avec Jean-Pierre, puisque, lorsque l’accident s’est produit, elle ne le connaissait que de réputation.

Du reste, on n’aurait sans doute rien su de cette histoire si Geneviève de Fontenay n’avait vendu la mèche dans Le Parisien, alors qu’on lui demandait quelles avaient été ses pires galères de vacances. Et voici ce que l’ex-patronne des Miss France a répondu : « En 1987, j’étais à Haïti avec Nathalie Marquay, on partageait une chambre. C’était un hôtel très luxueux, on n’avait pas vraiment l’habitude en fait, faut pas croire ! La salle de bains était incroyable, avec un spa, ou un jacuzzi, et des petits jets d’eau partout. Sauf qu’on n’arrivait plus du tout à les arrêter. On s’est retrouvées à quatre pattes, Nathalie et moi, à tout éponger comme on pouvait avec des serviettes, tellement c’était inondé ! » Incident mineur, certes. Mais qui semble prouver que, dès cette époque, Nathalie aurait dû commencer à se méfier du temps des vacances !
Didier BALBEC

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