Pierre Tchernia : Entouré par sa famille et ses proches

France Dimanche
Pierre Tchernia : Entouré par sa famille et ses proches

On le croyait seul et abandonné de tous dans une maison de retraite médicalisée. Heureusement, il n'en est rien et c'est Pierre Tchernia lui-même qui a tenu à le dire.

«Je ne suis pas seul ! » C'est le message que Pierre Tchernia vient de faire passer à tous ceux qui l'aiment. Fin octobre, nos confrères d'Ici Paris tiraient la sonnette d'alarme en parlant d'un homme de 85 ans oublié de tous. Il est vrai que, depuis sa dernière apparition télévisée dans Vivement dimanche en mai 2008, on avait perdu sa trace.

Selon le journaliste qui l'avait retrouvé, il était « Abandonné dans une maison de retraite médicalisée de l'ouest parisien », et négligé par les siens. « Seul un de ses fils lui rend encore visite et l'emmène parfois en vacances, où Pierre s'illumine de la présence de ses petits-enfants. »

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Et la semaine dernière, le même hebdomadaire lui prêtait des propos inquiétants. « Côté moral, j'ai des jours avec et des jours sans, avouait M. Tchernia. Arrangez-vous pour tomber le bon jour. Je suis tout seul... » Quant à sa santé... « Mes problèmes de hanche ne s'arrangent pas avec mes vieux jours, regrettait-il. Ce qui m'oblige à utiliser une chaise d'infirme pour mes déplacements. »

Visite

Suite à ces révélations, des milliers de fans s'étaient émus de son sort. Pour les rassurer, Pierre Tchernia a publié, samedi dernier, un communiqué. « Face à de multiples citations d'articles de presse publiées et aux diverses réactions qu'elles entraînent, je souhaite faire savoir que je suis extrêmement touché de la sollicitude du public. Contrairement à ce qui est parfois rapporté, je ne suis en aucun cas abandonné mais, au contraire, très entouré par ma famille et mes proches. À près de 86 ans, j'aspire simplement, désormais, au calme et au respect de mon intimité. »

Rassuré par ces bonnes nouvelles, France Dimanche adresse à « Magic Tchernia » ses plus sincères amitiés. Et en profite pour lui annoncer une bonne nouvelle. Contacté par nos soins, Pierre Bellemare nous a confié son désir de lui rendre visite. Entre Pierre, il faut se serrer les coudes !

Benoît Franquebalme

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