Denise Fabre : Sa liaison secrète avec Gilles Bouleau !

France Dimanche
Denise Fabre : Sa liaison secrète avec Gilles Bouleau !

Denise Fabre, ex-speakerine, âgée de 76 ans, a eu une relation très particulière avec le présentateur du 20 heures de TF1.

Comme elle nous manque, celle qui, durant toutes ses années télé, a été le soleil le plus éblouissant de notre petit écran ! Denise Fabre, sa voix haut perchée et ses légendaires fous rires font désormais partie de notre histoire, et il suffit de visionner certaines séquences cultes montrant cette joyeuse Niçoise à l’œuvre, pour se sentir submergé par une vague de bonheur nostalgique...

Belle brune pétillante au sourire grand comme ça, la complice du regretté Garcimore a passé plus de trente ans à nous offrir son talent à la télévision, mais aussi à la radio et dans la presse écrite. Et si cette présentatrice au caractère nature, empathique et spontané, a laissé derrière elle cet âge d’or pour se consacrer à la politique en devenant adjointe au maire de Nice, force est de constater que son charisme et sa beauté en ont ensorcelé plus d’un !

À commencer par un journaliste de TF1 admiré des téléspectateurs et qui, comme jadis sa consœur, s’invite aujourd’hui chaque soir dans les foyers des Français à l’heure du dîner... Il s’agit de Gilles Bouleau, le maître de cérémonie du JT de la Une ! Aussi incroyable que cela puisse paraître, l’ex-speakerine de 76 ans a eu une liaison secrète avec l’homme de médias de 57 ans ! Oui, vous avez bien lu et, pour tout dire, vous n’en croyez pas vos yeux... 

À ce stade de notre article en effet, la plupart d’entre vous, qui n’êtes pas nés de la dernière pluie, se demandent quelle étrange lubie a bien pu nous traverser ­l’esprit pour nous permettre d’imaginer que cette grande dame, épouse du chef Francis Vandenhende depuis quarante et un ans, maman de deux jumelles, Olivia et Élodie, nées en 1980, et deux fois grand-mère, ait pu vivre une idylle cachée avec un homme de près de vingt ans son cadet !

Or, si l’on part du principe que les liens se nouent souvent sur les lieux de travail, ils auraient tout à fait pu se rencontrer dans les couloirs de la chaîne où tous deux ont effectué une partie de leur carrière : Denise, à l’époque où elle présentait Télé-Vitrine, et Gilles, lorsqu’il est entré, après avoir remporté la bourse Jean d’Arcy, au service politique de la rédaction de la chaîne...

Mais comment auraient-ils pu dissimuler aussi longtemps une telle relation dans un milieu où tout se sait et où tout échange de regards tendres ne passe pas inaperçu ?

Vous l’aviez évidemment deviné, fines mouches que vous êtes, bien qu’une histoire d’amour entre ces deux grandes figures de la petite lucarne ait pu être techniquement possible, elle n’a évidemment jamais eu lieu ! En réalité, si l’ex-speakerine a eu un impact capital sur les jeunes années du journaliste de TF1, cela s’est produit dans un tout autre contexte... C’est Gilles Bouleau lui-même qui a tout récemment révélé l’influence terrible de Denise sur sa vie d’enfant, au point qu’il en avait à l’époque conçu des sueurs froides et de très fortes angoisses !

Si nous vous disions en débutant ces lignes que les programmes où apparaissait notre speakerine préférée enchantaient les Français, pour le petit Gilles, le plaisir était mitigé ! Non pas à cause d’elle, bien sûr, mais en raison de la volonté de son papa de l’empêcher d’être perverti par les images diffusées par la télévision, et d’en devenir accro... Ce qui est un comble quand on sait le métier qu’a choisi le présentateur du Journal de TF1 !

Toujours est-il que, dans son enfance, et ce jusqu’à l’âge de 11 ans, Gilles Bouleau n’avait pas de téléviseur à la maison. Une situation qui lui valait d’ailleurs parfois de vivre de douloureuses mises à l’écart de la part de ses camarades de classe, comme il l’a confié à Télé-Loisirs : « Je me souviens qu’un jour, à l’école primaire, où un gamin avait pointé une branche dans ma direction en disant : “Je suis Zorro", j’avais répondu : “Mais c’est qui, Zorro ?" Tout le monde m’avait regardé comme si j’étais un imbécile. Sur le moment je me suis senti bien seul... » Mais le pire n’était pas ces instants de grande solitude face à des copains incrédules et moqueurs...

Le père de la future star de la Une tenait mordicus à éloigner son rejeton des écrans, ce qui, somme toute, était un bon réflexe éducatif. Mais cette restriction applicable durant l’année, le foyer ne possédant pas de télé, devenait en revanche inapplicable quand venait le temps des vacances. Car, dans la maison que la famille louait en Corse chaque été, le poste trônait, tentant, attirant, irrésistible au milieu du salon ! De ce fruit défendu, interdiction paternelle suprême, le petit garçon de 6 ans, qui en était privé le reste du temps, n’avait qu’une envie : y goûter et s’en repaître jusqu’au bout de cette trêve estivale !

Que regardait donc l’innocent enfant dans l’écran diabolique ? Denise Fabre ! À cette époque, la belle brune au regard bleu malicieux et à la coiffure « choucroutée » à l’ancienne annonçait tous les programmes de la journée, et ses nombreuses apparitions comblaient de joie ce garçonnet d’ordinaire privé de télé.

S’apercevant de l’addiction qui guettait sa descendance, papa Bouleau eut une superbe idée : puisque la chair de sa chair ne pouvait quitter son idole des yeux, pourquoi ne pas lui raconter qu’elle aussi était capable de scruter le moindre de ses gestes ! 

« Attention ! La speakerine voit tout ce que tu fais ! » lui avait lancé son papa. « J’était complètement flippé, a encore raconté le journaliste dans Télé-Loisirs. J’ai longtemps cru que Denise Fabre me surveillait ! »

Un traumatisme qui n’a pas empêché celui qui a passé dix ans à Londres et à Washington en tant que correspondant de TF1 et LCI, de consacrer sa vie entière à la télévision...

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Clara MARGAUX

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